Pour nos salaires, le 7 mars journée
« entreprises mortes »
A la demande, légitime des agents et de leurs organisations syndicales, d’une augmentation du Salaire National de Base, la réponse est encore non… mais pour combien de temps encore ?
Les propos de Monsieur Levy c’est : « je voudrais bien, mais j’peux point », la faute à la compétitivité et à la concurrence. Toujours la même rengaine! Pourtant les richesses créées par les agents permettent une augmentation qui serait si utile à la relance de notre économie donc de l’emploi. Quant au choix de la concurrence dans notre secteur public et industriel, le désastre n’est plus à démontrer.
La volonté affichée des employeurs, c’est de privilégier ceux qui s’enrichissent en « dormant » plutôt que ceux qui travaillent. Ainsi sur les 11 dernières années, les groupes EDF et ENGIE ont versé 60 milliards d’euros de dividendes soit 23,6 milliards d’euros pour EDF et 36,07 milliards pour ENGIE.
Or, Chaque année, un salarié des deux groupes, EDF et ENGIE, génère 155 271 euros de richesses dont 17 685 euros finissent dans les poches des actionnaires via les dividendes.
Et il n’y aurait pas d’argent ! Pourtant baisser les dividendes de :
La volonté affichée des employeurs, c’est de privilégier ceux qui s’enrichissent en « dormant » plutôt que ceux qui travaillent. Ainsi sur les 11 dernières années, les groupes EDF et ENGIE ont versé 60 milliards d’euros de dividendes soit 23,6 milliards d’euros pour EDF et 36,07 milliards pour ENGIE.
Or, Chaque année, un salarié des deux groupes, EDF et ENGIE, génère 155 271 euros de richesses dont 17 685 euros finissent dans les poches des actionnaires via les dividendes.
Et il n’y aurait pas d’argent ! Pourtant baisser les dividendes de :
- 20% et ce serait 154 euros/par mois pour les salariés ou la création de 16 500 postes !
- 25% et ce serait 193 euros/par mois pour les salariés !
- 1 Milliard d’euro et ce serait 142 euros/par mois ou 15 206 emplois en plus !
Et peu d’espoir de s’en sortir avec une augmentation individuelle. Les employeurs annoncent la suppression de 10 000 NR s’ajoutant à l’austérité des années précédentes ; notre salaire ayant perdu en 10 ans, 12,5% par rapport au SMIC.
Et pour parachever le tout, nos employeurs s’attaquent à notre salaire différé notamment les activités sociales et plusieurs candidats élyséens annoncent le transfert de frais de santé de la Sécurité Sociale vers les assurances.
Ces deux syndicats du territoire de Seine-&-Marne* vous invitent à amplifier la mobilisation, déjà conséquente du 31 janvier, en participant le 7 mars à la journée d’arrêt de travail (de 1 à 8 h) et à la manifestation unitaire et interprofessionnelle.
Et pour parachever le tout, nos employeurs s’attaquent à notre salaire différé notamment les activités sociales et plusieurs candidats élyséens annoncent le transfert de frais de santé de la Sécurité Sociale vers les assurances.
Ces deux syndicats du territoire de Seine-&-Marne* vous invitent à amplifier la mobilisation, déjà conséquente du 31 janvier, en participant le 7 mars à la journée d’arrêt de travail (de 1 à 8 h) et à la manifestation unitaire et interprofessionnelle.
PAS D’AUGMENTATION DE SALAIRE ET DE PENSION
=
PAS DE CONSOMMATION, PAS DE RELANCE DE L’EMPLOI
Manifestation interprofessionnelle et intersyndicale à 13 h Place Denfert-Rochereau Inscription au bus par mail contact@cgt-energies77.fr ou par sms au 06.80.00.06.82
Départ à 12 h de Melun Place Arthur Chaussy – 12 h 45 Croissy Beaubourg
*La CGT a proposé à toutes les OS locales, ce tract qui était modifiable, seule FO a répondu favorablement… Surprenant vue l’unité nationale !
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